Projet terminé
Affaires mondiales Canada
incluant 130 000 femmes
L’objectif du projet VLF - Haïti (ou « Pou Fanm Pi Djanm » en créole) est de renforcer les capacités et les activités des organisations, des réseaux et des mouvements de femmes en Haïti. Il prend place dans 8 des 10 départements du pays: Ouest, Sud-Est, Sud, Grand’Anse, Artibonite, Centre, Nord, Nord-Est.
Avec la collaboration du ministère à la Condition féminine et aux Droits des femmes (MCFDF) et nos 30 organisations partenaires locales, nous mettons en œuvre diverses activités afin de permettre aux femmes et aux filles de mieux exercer leurs droits et de faire progresser l’égalité entre les femmes et les hommes. Le projet accompagne 6 réseaux nationaux et 24 organisations locales en renforçant leurs capacités organisationnelles et financières.
Depuis le tremblement de terre de 2010 en Haïti, les mouvements féministes locaux sont affaiblis, notamment en raison de la disparition de plusieurs de leurs leaders. De plus, au cours des dernières années, le financement des organisations de la société civile a considérablement diminué. Les organisations locales et les réseaux nationaux qui défendent les droits des femmes font maintenant face à des défis financiers et organisationnels majeurs, qui nuisent à leur travail en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes en Haïti.
C’est pourquoi VLF - Haïti a choisi de les aider à renforcer leur structure organisationnelle et à devenir plus autonomes financièrement. Ainsi, ces organisations pourront offrir des services de meilleure qualité à un plus grand nombre de femmes et engager un dialogue constructif avec les instances étatiques pour améliorer l’environnement juridique et légal qui doit protéger leurs droits.
Renforcer la structure et le plaidoyer des organisations de femmes permet aux Haïtiennes un meilleur exercice de leurs droits.
organisations de femmes ont reçu un appui financier pour mener des activités de promotion des droits des femmes et des filles
organisations de femmes ont reçu un appui financier pour renforcer leur structure organisationnelle
personnes (dont 80 % de femmes) ont bénéficié directement des activités de formation et de plaidoyer
personnes, incluant 130 000 femmes, ont une meilleure connaissance des droits humains et sont plus à même de les défendre et de les exercer