Projet terminé
(Banque asiatique de développement - BAD)
- Entraide universitaire mondiale du Canada (EUMC - chef de file du consortium)
- Conseil pour l’enseignement technique et la formation professionnelle (CETFP)
- Institut du développement des affaires industrielles (IEDI)
- Collèges et instituts Canada (CIC)
- Ministère de l’éducation du Népal
Le CECI, en partenariat avec l’Entraide universitaire mondiale du Canada, le ministère de l’Education du Népal et plusieurs autres entités académiques et du monde des affaires, a travaillé à la mise en place d’une réforme de l’enseignement et de la formation technique et professionnelle (EFTP). Financé par la Banque asiatique de développement (BAD), le projet a fourni de l’assistance technique au ministère national de l’Éducation ainsi qu’au Conseil de l’enseignement technique et de la formation professionnelle (CETFP) afin de mettre en œuvre les changements à apporter, notamment dans la mise à jour des programmes offerts. Il a fourni le soutien nécessaire au gouvernement afin que ce dernier puisse initier des réformes importantes dans des secteurs stratégiques ciblés. Il s’agissait de renforcer la qualité et la pertinence de la formation publique, mais aussi d’augmenter le taux de placement des demandeurs d’emploi dans le secteur privé.
Le projet de développement des compétences a aidé le Ministère de l’Education népalais à mettre en œuvre une nouvelle stratégie nationale relative à l’enseignement et à la formation technique et professionnelle, à établir une feuille de route et à planifier les résultats à atteindre.
Il est intervenu à plusieurs niveaux : mise en place de formations inclusives axées sur les demandes du marché ; amélioration de la qualité et de la pertinence de l’offre ; mise en œuvre de la politique et des réformes institutionnelles et opérationnelles ; gestion de projet efficace, suivi et évaluation.
Le projet a établi un fonds permettant au gouvernement d’offrir un financement à l’ensemble du secteur de l’enseignement et de la formation technique et professionnelle afin de coordonner et appuyer le développement des compétences au niveau national. Plusieurs objectifs étaient visés avec l’établissement de ces mesures : l’augmentation des investissements dans le secteur ; la rationalisation de ces investissements grâce à un meilleur établissement des priorités ; une coordination plus forte ; l'accent mis sur la performance mesurée par les résultats sur le marché du travail (emploi).
A terme, le projet, qui visait à offrir une formation socialement inclusive et au plus près des besoins du marché, s’est adressé à plus de 30 000 jeunes. Il a créé 600 nouvelles places dans 10 écoles dites « modèles », et y a établi des unités spécialisées en équité des genres et inclusion sociale.
de femmes parmi les étudiants
jeunes diplômés ayant trouvé un emploi
enseignants ayant suivi des formations en équité des genres et inclusion sociale