Nouvelle

COP28 : la justice climatique avant tout

Canada

Tout juste arrivée de la COP28, notre volontaire Noémie Lefrançois avait comme priorité de revendiquer une justice climatique qui reflète les revendications de nos partenaires des Suds.

Noémie a participé à la COP28 à travers la délégation jeunesse de l’AQOCI, elle a amplifié la voix des personnes les plus vulnérables aux changements climatiques et a revendiqué leur droit à la réparation des préjudices subis. Pour elle, cette opportunité représentait un moyen concret de transcender le paradoxe entre les nations des Nords et des Suds. Noémie a mis tout en œuvre pour porter les revendications des communautés boliviennes et plaider en faveur d'une justice climatique, en mettant l'accent sur la nécessité d'un financement équitable. Son objectif était d'assurer que les pays en situation de vulnérabilité puissent gérer leurs ressources naturelles de manière durable et autonome.

Noémie, diplômée d'une maîtrise en politiques appliquées de l'environnement, est une passionnée de la transition socioécologique et des politiques climatiques. Elle avait déjà fait ses débuts en tant que militante en participant virtuellement à la COP26 de Glasgow, où elle avait appris les tenants et aboutissants des négociations internationales cruciales sur le climat.

Noémie a récemment passé trois mois en Bolivie, travaillant aux côtés du gouvernement municipal de La Paz en tant que conseillère en environnement avec le CECI. Cette expérience l'a plongée dans les préoccupations climatiques des communautés locales et autochtones, lui permettant de mieux comprendre les enjeux à la base de la crise climatique. Elle a participé à la conception d’une matrice d’évaluation des impacts socio-économiques et environnementaux des routes touristiques et fait quelques recommandations en ce sens. Elle a également eu la chance de faire une présentation, lors d’un Forum municipal sur le tourisme durable et novateur et sur le tourisme régénératif.

Travaillant au sein de l’Unité du tourisme à La Paz, j’espérais tout de même que ma présence puisse avoir une influence positive sur l’adoption de pratiques respectueuses de l’environnement dans ce domaine. Non seulement je leur ai partagé ma vision de la transition écologique tout au long de mon mandat, mais nous avons aussi co-créé une matrice d’évaluation des impacts socio-économiques et environnementaux des routes touristiques. J’ai également eu la chance de faire une présentation, lors d’un Forum municipal sur le tourisme durable et novateur, sur le tourisme régénératif.” -Noémie

En plus de son travail avec le gouvernement municipal de La Paz, Noémie a contribué à la réflexion et à la recherche d’avenues prometteuses en matière de compensation carbone pour le CECI.

Son engagement envers la lutte contre les changements climatiques, combiné à sa vaste expérience dans le domaine de l'environnement et des politiques climatiques au niveau municipal, fait d'elle une voix puissante pour la justice climatique à la COP28. Elle porte avec elle les espoirs et les aspirations de ceux qui ne peuvent pas être présents, et elle rappelle aux gouvernements des pays du Nord leur responsabilité dans la réparation des injustices créées par notre modèle de surconsommation.

La participation de Noémie à la COP28 était un exemple inspirant de l'engagement individuel en faveur du climat  et des communautés directement impactées par la crise actuelle. Nous avons suivi son parcours avec intérêt et espoir.

Tout juste arrivée de la COP28, notre volontaire Noémie Lefrançois avait comme priorité de revendiquer une justice climatique qui reflète les revendications de nos partenaires des Suds.

Noémie a participé à la COP28 à travers la délégation jeunesse de l’AQOCI, elle a amplifié la voix des personnes les plus vulnérables aux changements climatiques et a revendiqué leur droit à la réparation des préjudices subis. Pour elle, cette opportunité représentait un moyen concret de transcender le paradoxe entre les nations des Nords et des Suds. Noémie a mis tout en œuvre pour porter les revendications des communautés boliviennes et plaider en faveur d'une justice climatique, en mettant l'accent sur la nécessité d'un financement équitable. Son objectif était d'assurer que les pays en situation de vulnérabilité puissent gérer leurs ressources naturelles de manière durable et autonome.

Noémie, diplômée d'une maîtrise en politiques appliquées de l'environnement, est une passionnée de la transition socioécologique et des politiques climatiques. Elle avait déjà fait ses débuts en tant que militante en participant virtuellement à la COP26 de Glasgow, où elle avait appris les tenants et aboutissants des négociations internationales cruciales sur le climat.

Noémie a récemment passé trois mois en Bolivie, travaillant aux côtés du gouvernement municipal de La Paz en tant que conseillère en environnement avec le CECI. Cette expérience l'a plongée dans les préoccupations climatiques des communautés locales et autochtones, lui permettant de mieux comprendre les enjeux à la base de la crise climatique. Elle a participé à la conception d’une matrice d’évaluation des impacts socio-économiques et environnementaux des routes touristiques et fait quelques recommandations en ce sens. Elle a également eu la chance de faire une présentation, lors d’un Forum municipal sur le tourisme durable et novateur et sur le tourisme régénératif.

Travaillant au sein de l’Unité du tourisme à La Paz, j’espérais tout de même que ma présence puisse avoir une influence positive sur l’adoption de pratiques respectueuses de l’environnement dans ce domaine. Non seulement je leur ai partagé ma vision de la transition écologique tout au long de mon mandat, mais nous avons aussi co-créé une matrice d’évaluation des impacts socio-économiques et environnementaux des routes touristiques. J’ai également eu la chance de faire une présentation, lors d’un Forum municipal sur le tourisme durable et novateur, sur le tourisme régénératif.” -Noémie

En plus de son travail avec le gouvernement municipal de La Paz, Noémie a contribué à la réflexion et à la recherche d’avenues prometteuses en matière de compensation carbone pour le CECI.

Son engagement envers la lutte contre les changements climatiques, combiné à sa vaste expérience dans le domaine de l'environnement et des politiques climatiques au niveau municipal, fait d'elle une voix puissante pour la justice climatique à la COP28. Elle porte avec elle les espoirs et les aspirations de ceux qui ne peuvent pas être présents, et elle rappelle aux gouvernements des pays du Nord leur responsabilité dans la réparation des injustices créées par notre modèle de surconsommation.

La participation de Noémie à la COP28 était un exemple inspirant de l'engagement individuel en faveur du climat  et des communautés directement impactées par la crise actuelle. Nous avons suivi son parcours avec intérêt et espoir.

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