Témoignage

5 bonnes raisons de faire un mandat virtuel de coopération volontaire avec le CECI Bolivie

Bolivie
Publié par : Alexane Vézina
Il n’est pas facile de partir à l’étranger pour effectuer un mandat de coopération volontaire. Le plus difficile, c’est bien souvent de quitter le confort de ses vieilles pantoufles (des Simpsons ou de phentex). Les casanières et casaniers comme moi comprendront! Heureusement et malgré tous ses inconvénients, la pandémie nous permet tout de même à nous les: “lève-tard-fait-pas-assez-beau-pour-sortir-à-trente-degrés” de faire ce dit mandat, mais en télétravail! Bref, d’accomplir de grandes choses...et même de socialiser (dans une dose raisonnable), tout en évitant les irritants comme le décalage horaire, le mal de l’altitude ou encore de devoir dormir dans un lit qui n’est pas le nôtre (horrible, non?). Si je vous dis tout cela, c’est parce que je viens tout juste de terminer mon mandat virtuel de trois mois (oui ça passe vite), et que j’aimerais vous conseiller judicieusement dans votre choix de pays d’affectation ou de réaffectation. Malgré le fait que j’ai entendu de bons mots sur certaines autres équipes pays, tout cela reste des "ouï-dires" pour vous et moi... alors que quand je vous dis que la Bolivie est le meilleur choix, vous pouvez me faire confiance (clin d’oeil). Pour vous convaincre une bonne fois pour toutes, j’ai même identifié cinq raisons “sensas” qui font du CECI Bolivie la meilleure option pour votre mandat virtuel:
  • Pour son équipe!
Vous apprendrez à connaître des personnes extraordinaires qui vous offriront un encadrement parfait, c'est-à-dire, beaucoup de disponibilités pour vous aider, selon vos désirs et vos besoins. De plus, ces personnes vous fourniront un petit guide de la culture bolivienne vous permettant (tout en buvant votre IPA à la micro du coin) de sortir des phrases comme “vous savez, j’écoute depuis peu ce podcast sur la littérature bolivienne et vos propos me rappellent tout particulièrement le dernier ouvrage méconnu traitant de la culture andine…”
  • Pour pratiquer votre espagnol!
Même si vous vous croyez pitoyable et que vous chantez tout croche les paroles de “despacito”, les responsables du CECI Bolivie vous aideront à parfaire vos connaissances (bien minimes soient-elles), et ce, sans jugement! D’ailleurs, plusieurs membres de l’équipe parlent parfaitement français! À la fin de votre mandat, vous pourrez commander bien plus que de la Cerveza! Promis!
  • Pour la flexibilité!
Saviez-vous qu’il n’y a aucun décalage horaire entre la Bolivie et le Québec? Cela signifie que vous aurez des rencontres à des heures raisonnables! D’ailleurs, ces rencontres demeurent dans la plupart des cas assez flexibles, vous permettant d’aller tranquillement vous faire détartrer chez le dentiste lorsque nécessaire. Aussi, outre votre présence aux rencontres qui sera requise aux heures déterminées, vous pourrez gérer votre horaire et travailler  la fin de semaine ou la nuit si cela vous dit (ou que vous êtes un vampire..)!
  • Pour repousser vos limites!
Ici, je ne veux pas vous faire peur..mais, qui dit repousser ses limites dit aussi défi. Toutefois, c’est exactement cela qui vous remplira de fierté et vous permettra d’épater vos futurs employeurs lors des entrevues. Je ne veux pas trop parler, car cela dépend des mandats, mais vous pourriez être appelé.e à sortir la Oprah qui sommeille en vous, qui sait?
  • Pour soutenir les femmes!
Que vous soyez un homme ou une femme, la mission du CECI qui vise le renforcement du pouvoir économique des femmes ne peut tout simplement pas vous laisser dans l’indifférence. C’est une cause extrêmement noble et qui participe activement à l'éradication de la pauvreté! Des femmes inspirantes il y en a partout, dont en Bolivie. En effet, si vous ne connaissez pas les Cholitas Escaladoras de Bolivie, ça serait le temps de retourner faire un p’tit tour sur Google. Voilà! Je vous l’avais dit! Maintenant hop la candidature! Ça se passe par ici: https://cooperation.ceci.ca/fr

Restez informé·e·s

Inscrivez-vous à l’infolettre et soyez les premier·ère·s informé·e·s !